Envie de voir vos employés avec la banane tous les matins ?

Le bonheur ne tient parfois qu'à un fil. Au sein d'une entreprise, on a toujours l'impression qu'il est trop difficile d'être heureux : le travail est stressant, le boss n'est jamais content et il ne comprend pas nos problématiques...

C'est ce que ressentent un bon nombre de salariés, et souvent à juste titre, il faut se l'avouer. Si vous souhaitez changer cette atmosphère pesante, il suffit de commencer par de petites choses. Un bonjour avec un sourire le matin, prendre 15 minutes pour faire une vraie coupure, sans parler boulot... Il y a de nombreuses choses à faire.

Pour traiter les problèmes en profondeur, là il s'agit de s'investir plus, de réfléchir à ce qui pourrait faire du bien aux salariés en fonction de leur poste ou de leur charge de travail. Un massage pour ceux qui passent beaucoup de temps derrière leur ordinateur, une conférence sur la gestion du stress pour les managers qui sont eux aussi submerger de responsabilités et d'objectifs à atteindre, et pourquoi pas un cours de yoga et de méditation pour tout le monde, salariés comme dirigeants, afin de casser cette hiérarchie le temps d'un cours ?

Audrey Le Roux

Sachons apprécier (enfin) les bonnes initiatives, si petites soient-elles !

Après les articles vantant le bien-être au travail et toutes les actions qui s'articulent autour de cette thématique, la presse et les réseaux sociaux montrent désormais du doigt ces mêmes initiatives considérées pour certains comme inutiles. Y aurait-il les pro QVT et les contre ? Pourquoi ? Est-ce vraiment noir ou blanc ? La QVT dans son ensemble est-elle vraiment inutile voire, comme le sous-entendent certains, de la poudre aux yeux ?

J'ai eu envie d'élucider tout ça, ou plutôt d'apporter un point de vue qui n'est peut-être pas le plus expert mais qui relève de mon expérience, de la bienveillance et de la lucidité.

Un passage obligé

Inutile de répéter ce que l'on voit partout. Chiffres, études, arguments, le bien-être au travail n'a plus vraiment besoin d'être justifié. Il est tout de même important de rappeler que l'équilibre entre la vie personnelle et professionnelle devient une priorité, tout comme la reconnaissance et la considération. Sans tout cela, ou une partie, la motivation décroît tout comme l'implication.

Conséquences directes : arrêt maladie, absentéisme, présentéisme, stress, dépression, burn out, suicide... Les solutions pour y remédier sont multiples et variées, elles vont des initiatives comme le potager dans l'entreprise aux réunions sans portable en passant par les journées sans mails, ou encore plus axées sur le bien-être corps/esprit.

Nous savons aujourd'hui que l'on ne peut plus dissocier les deux. « Un esprit sain dans un corps sain » est un adage qui n'a jamais été aussi vrai. C'est d'ailleurs l'avantage de ces prestations qui permettent à l'individu en tant que tel, et pas seulement au collaborateur d'une entreprise, de pouvoir agir sur sa personne avec des effets immédiats sur son travail. C'est le cas de la sophrologie par exemple ou encore de la méditation.

Et puis il y a les vraies restructurations, ou du moins, le changement managérial. J'ai eu l'occasion de lire un article sur @arcadie dans @kaizen. Un bel exemple d'entreprise libérée, la preuve qu'il est possible de travailler autrement, peut-être pas partout et dans toutes les entreprises mais le changement est possible, et surtout ça marche !

Une réelle conviction

Si la QVT est peut-être une brèche dans laquelle certains se sont engouffrés pour du pur business, ceux qui résistent ont des idées bien ancrées, bienveillantes et une véritable envie de changement. Est-ce utopique de croire que le monde du travail peut changer ? Je ne sais pas mais si personne n'essaie, alors cela veut dire que nous restons passifs face à un destin professionnel qui plaît de moins en moins.

Essayer n'a jamais été un échec, l'inaction oui. Alors oui, peut-être que le babyfoot n'est pas une fin en soi, c'est même sûr. Mais rappelons tout de même que les actions ne sont pas les finalités mais plutôt les moyens pour arriver à un objectif commun : se sentir bien, ou si j'ose dire le gros mot « heureux » au travail.

Il y a plusieurs années, je faisais partie d'une société où les salariés étaient loin d'être considérés, bien au contraire. Si un cours de yoga n'aurait pas changer le mépris du directeur, c'est certain, l'attention qu'il nous aurait porté nous aurait peut-être permis de positiver.

D'ailleurs, dans les premières années, c'était le cas. Des chèques cadeaux, un resto offert, un cadeau pour un anniversaire... Tout ceci le rendait plus humain et nous permettait de mettre un mouchoir sur les différents. Alors je vous l'accorde, les problèmes demeuraient. Cependant, au fil du temps, tous ces cadeaux ont disparu.

Que nous restait-il ? Les problèmes, dans une mauvaise ambiance, et qui plus est dans l'ignorance totale. Ce dirigeant que l'on trouvait humain « mais », s'est transformé en personnage froid, égoïste et sans scrupules. Soit, il s'agit de mon expérience personnelle mais la conclusion est tout de même la suivante : des actions, même ponctuelles et si peu soient-elles ne valent-elles pas mieux que rien du tout ?

Une changement profond

Alors maintenant je me mets du côté des détracteurs de la QVT. Je connais le système, la « machine à broyer » des grosses sociétés où l'employé peut être un simple numéro, ou les process de communication sont extrêmement longs avant de pouvoir mettre quelque chose en place, où les différences entre les salariés sont telles que l'on parle d'injustice - le mot est quand même fort - où l'on ne considère pas le travail de chacun ni même ses capacités ou ce qu'il pourrait apporter en plus à la société si on le laissait tout simplement s'exprimer...

Bien entendu, dans tous ces exemples non exhaustifs, il apparaît évidemment qu'un massage ne va rien régler du tout si ce n'est se sentir bien sur le moment et peut-être oublier pendant 20 minutes les conflits internes. Mais il faut quand même le rappeler, le bien-être au travail est très large. Une entreprise avec des conflits très concrets et récurrents va bien évidemment devoir s'orienter vers une remise en question profonde.

L'entreprise dont la QVT a toujours été plus ou moins au centre des préoccupations de la direction, quant à elle, ne va pas avoir les même besoins. Il ne faut pas se voiler la face en pensant tout révolutionner avec certaines actions mais on ne peut pas les dénigrer non plus. Ce n'est pas soit l'un, soit l'autre, mais plutôt le « ensemble » qui doit prôner.

S'adapter

Il ne s'agit pas d'être dans la confrontation entre d'un côté les prestations appelées vulgairement par certains « cosmétiques » et les actions de fond qui visent à revoir complètement un mode de fonctionnement : des managers plus à l'écoute, des salariés qui ne reçoivent plus d'email le soir, le week-end ou pendant leurs vacances. Derrière tout ceci, il y a une même volonté : changer le monde du travail pour aller mieux tout simplement.

Il faut également prendre en considération les moyens matériels et financiers de chaque entreprise, un programme de QVT ne vas pas être le même d'une entreprise à l'autre. Cependant, il est nécessaire d'avoir deux conditions sine qua non pour que cela fonctionne : d'une part, les dirigeants doivent eux-même être convaincus de la mise en place d'une démarche QVT et de son efficacité, et d'autre part les collaborateurs doivent être consultés afin que ces actions ne soient pas un simple coup d'épée dans l'eau (mise en place d'un audit, d'une enquête de satisfaction ou encore d'une boîte à idée anonyme...)

Parce que sinon quoi ? Nous, acteurs du bien-être et même du bonheur au travail, nous devons tout arrêter, laissez tomber cette « utopie » (pour certains) qui est de croire que l'on peut améliorer les choses avec un cours de yoga, une conférence sur la communication non violente ou du massage assis ? Rappelons-nous d'une chose, le point commun de tout ça : l'Humain. Et je reprendrai pour finir l'image du colibri qui s'applique à tous les domaines : une petite action amène à une autre, puis une autre et encore une autre pour enfin s'agrandir et prendre de l'ampleur !

Audrey Le Roux

Dirigeant.e, prenez soin de vous !

Prise de paroles, de décisions et décalage horaire... Être dirigeant.e et/ou cadre entraîne un stress supplémentaire. Une fois que la machine est lancée, difficile de la freiner pour mieux la contrôler. Heureusement, rien n'est perdu. Il est possible de gérer le stress qu'engendrent les responsabilités et les contraintes professionnelles pour vivre sereinement.

Aujourd'hui, nous vous proposons de découvrir une des prestations qui vous aidera : la kinésiologie.

Les problèmes rencontrés

Lorsque l'on parle de QVT*, on pense souvent aux salariés et collaborateurs. Malheureusement, on oublie souvent que les dirigeant.e.s, les managers et les cadres de façon générale sont peut-être les premiers à souffrir. Il faut en effet toujours être au top, gérer des collaborateurs avec tout ce que cela implique - conflits humains notamment – tout en affrontant des situations qui peuvent s'avérer problématiques pour certains. 

La prise de parole en est l'exemple. Il n'est pas rare qu'un.e dirigeant.e ait besoin de prendre la parole devant ses collaborateurs et ce n'est pas parce qu'il.elle dirige, qu'il.elle n'a pas la même appréhension que les autres, il s'agit d'un être humain avec ses peurs et ses questionnements.

Prendre des décisions qui vont impacter d'autres personnes voire même l'ensemble d'une société, n'est également pas si simple. Il faut pouvoir peser le pour et le contre, connaître son sujet et choisir le mieux dans l'intérêt de tous, et dans tous les cas, savoir l'expliquer. Un stress supplémentaire donc et un rôle qui n'est pas toujours facile à assumer. C'est également un apprentissage que de savoir prendre des décisions !

Enfin, troisième et dernier point pour tous ceux qui voyagent à l'étranger : le décalage horaire. C'est la bête noire des globe-trotters ! Il n'est pas toujours facile d'être opérationnel après 10h d'avion et un rythme complètement décalée. Comment assurer avec un client lors d'un déjeuner d'affaire alors que pour votre corps, il est 2h du matin et vous n'avez qu'une envie, dormir ?

La kinésiologie, LA solution !

Créée dans les années 60 aux Etats-Unis et encore utilisée aujourd'hui à la Maison Blanche, la kinésiologie a pour but de re(créer) l'équilibre entre le corps et l'esprit. Si l'esprit peut oublier certains traumatismes ou situations conflictuelles, le corps, quant à lui, a une excellente mémoire. Il emmagasine tous les maux et les traduit de différentes manières.

Grâce à la kinésiologie et les techniques utilisées comme les mouvements musculaires, oculaires et énergétiques, l'acupressure ou encore la visualisation, le corps se débloque et vous permet de gérer toutes les situations rencontrées plus sereinement. « Le principe est simple : lorsqu’un stress s’installe dans notre corps, il va verrouiller certains muscles, entraver le fonctionnement des organes sensoriels, et nous empêcher d’accéder à tout notre potentiel. La kinésiologie est une aide afin de retrouver toutes ses capacités et prendre des décisions en harmonie avec ses idées. », Julie notre praticienne en kinésiologie.

Concrètement, ça donne quoi ? L'objectif est défini en début de séance et grâce au test musculaire, le.la praticien.ne va pouvoir équilibrer le corps dans sa globalité (structurelle, émotionnelle et mentale) afin de retrouver tout son potentiel.

Vous devez prendre la parole lors d'une conférence ? Vous organisez régulièrement des webinars ? Vous êtes à la tête d'une grande entreprise où chaque décision prise influe sur le quotidien des salariés ? Testez la kinésiologie 😉

Pour plus d'informations : contact@auronaetcie.com / www.auronaetcie.com 

*Qualité de Vie au Travail

#kinesiologie #bienetreautravail #dirigeants #aurona #qvt #humain #relationel  

Audrey Le Roux

Stop ! La charge mentale ne se limite pas aux femmes, ni à la vie domestique

Ce concept, ce terme, est apparu en 2017 grâce à Emma et sa fameuse B.D qui relatait les problématiques que rencontrées les femmes au quotidien. Si la charge mentale a été formulée avant tout pour les femmes, au sein du foyer, elle concerne non seulement les hommes mais aussi le monde du travail.

La charge mentale au travail, qu'est ce que c'est ?

On en entend beaucoup parler ces dernières semaines et notamment avec l'étude sortie tout récemment (13 novembre) réalisée par l'IFOP et Mooncard sur les cadres et la charge mentale.

Nouvelle arrivée dans le Petit Larousse, la charge mentale y est décrite comme un « Poids psychologique que fait peser (plus particulièrement sur les femmes) la gestion de tâches domestiques et éducatives, engendrant une fatigue physique et, surtout, psychique ».

Il ne s'agit pas seulement de l'action mais plutôt de la pensée. Ce qui veut dire que l'on peut toujours déléguer les choses pour être moins surchargé, notre esprit, lui, le reste. C'est d'ailleurs ce que révèle l'étude avec 60 % des cadres qui pensent souvent au travail le soir et 52 % le week-end.

Mais la charge mentale, c'est surtout se sentir débordé, ne plus savoir où donner de la tête finalement. Et là encore, les chiffres parlent d'eux-mêmes : 80 % des cadres ont l'impression qu'ils ne vont pas s'en sortir, 36 % éprouvent souvent cette sensation.

Des conséquences importantes

Si on pense tout de suite au burn out lorsqu'on parle de charge mentale ou de mal être, il faut prendre en compte les signes précurseurs et les traiter pour justement éviter d'en arriver au pire.

Les conséquences directes, quelles sont-elles alors ? Il s'agit avant tout de répercussion sur son entourage et plus précisément sa famille, mais aussi sur sa propre santé. Ainsi, 75 % des cadres ont des difficultés à dormir car ils pensent très souvent au travail. 58 % indique qu'ils ont souvent des tensions avec leur conjoint ou leurs proches.

« Quand tout devient urgent, l’urgence c’est de s’arrêter ! »

La solution ?

De nombreuses pratiques et méthodes peuvent vous aider à gérer cette charge mentale professionnelle. Celle qui nous intéresse plus particulièrement est la sophrologie.

« La sophrologie peut être d’une grande efficacité pour soulager la charge mentale car elle permet justement de « débrancher notre cogito », de s’extraire des ruminations que l’on ressasse sans cesse, et d’apprendre à s’apaiser pour mieux faire face aux situations stressantes. Des exercices de respirations spécifiques permettent d’ailleurs de ralentir le rythme cardiaque, pour se calmer et apaiser les angoisses qui nous submergent quand nous avons « trop de choses en tête en même temps ».

Savoir prendre du temps alors qu’on a la sensation de manquer de temps, ce n’est pas une évidence à première vue mais c’est faisable et redoutablement efficace. « Quand tout devient urgent, l’urgence c’est de s’arrêter ! » Les outils proposés par la sophrologie permettent d’apprendre à se poser, à prendre du recul et à se rendre disponible mentalement à d’autres choses. Comme si on allait prendre un bon bol d’air.

Avec des exercices de visualisation, nous pouvons également s’entraîner à changer de point de vue, à mettre le focus ailleurs pour permettre à de nouvelles solutions que nous n’avions pas encore envisagées de s’exprimer. On prend de la hauteur, du recul, on s’extrait de nos problématiques pour voir plus clair. Cela rassure et conforte. », explique Delphine Lamour Pilcher, notre praticienne Sophrologue et Instructrice en Méditation de pleine conscience, spécialisée dans la gestion du stress, la confiance en soi et le mieux dormir. (@Delphine Lamour Pilcher)

Cadres, dirigeants, salariés : si vous vous sentez débordés, n'hésitez pas à nous contacter pour une intervention sur mesure, en entreprise.

#sophrologie #bienetreautravail #dirigeants #aurona #qvt #humain #relationel  

Audrey Le Roux

Bien finir l'année pour repartir du bon pied !

La fin d'année est toujours une période stressante, et l'actualité n'arrange pas les choses ! Stress, angoisse, incertitude : il est souvent difficile de faire le bilan d'une année entre les choses que nous n'avons pas eu le temps de faire, que nous considérons comme un échec, et la peur de ce qui nous attend l'année suivante...

Si tout cela s'applique à chacun et de façon générale, au travail, ce sont souvent des sources de stress supplémentaire, surtout lorsqu'il s'agit de « boucler » des dossiers et autres affaires urgentes.

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Sablier dans une main
Burst - Matthew Henry

Le moment du bilan

Entre ceux qui sont absents la première semaine, les autres la seconde et les entreprises qui ferment complètement, le mois de décembre est assez particulier, surtout pendant les fêtes.

On assiste à un va-et-vient des collaborateurs, aux fêtes du personnel et/ou pot de Noël, et en parallèle, une sorte d'effervescence. En fin d'année, il y a toujours des dossiers à finir pour ne plus les avoir l'année d'après, par obligation souvent d'ailleurs selon le secteur.

Mais c'est également le moment où l'on vote les budgets, où l'on parle de nouvelles stratégies ou encore de réorganisation. Véritable période de transition donc !

Comment la gérer ? Prendre du recul paraît être la meilleure des solutions. Plus facile à dire qu'à faire, il s'agit pourtant d'une vraie solution. Considérer l'année comme un livre que l'on referme pour en commencer un nouveau, c'est une métaphore qui convient plutôt bien. Encore faut-il y arriver !

Là-encore, de nombreuses techniques peuvent vous aider. Nous avons choisi cette fois-ci la réflexologie qui est facile à mettre en place en entreprise, tant en termes d'organisation que de temps ou de coût.

Massage de pied

Zoom sur la réflexologie

Si tout le monde connaît la réflexologie de nom, peu connaisse réellement ses applications et vertus. Nous avons donc décidé de vous en dire un peu plus en laissant la parole à Emilie, réflexologue faisant partie de notre équipe de praticiens :

« Tout d’abord la réflexologie est une technique manuelle de soin et de bien-être qui par digito-pression sur certaines zones réflexes permet de rééquilibrer l’équilibre global du corps.

Ces zones réflexes sont en correspondance avec les organes via les terminaisons nerveuses présentes dans le pied. Aussi on agit à distance (comme le fait le système nerveux) sur les organes et hormones afin de rétablir leur bon fonctionnement.

Le stress peut induire différents troubles, tels que l’anxiété, l’insomnie, des troubles digestifs, une baisse d’énergie (fatigue, sensation de courbatures), un sentiment de morosité, des maux de dos, un manque de confiance en soi, la sensation d’être envahie et de ne plus savoir par où commencer, l’irritabilité, les sauts d’humeur etc.

La réflexologie localise les tensions, libère le stress, harmonise les énergies et soulage les douleurs ce qui procure un véritable lâcher prise et un état de relaxation appréciable.

Pour chaque personne, nous étudions en début de séance quels sont leurs déséquilibres causés par le stress. Si cela se manifeste par des insomnies par exemple, la séance visera à ramener un bien-être général notamment par un rééquilibrage des systèmes neurovégétatifs, le relâchement du diaphragme et du plexus solaire, tout en travaillant sur l’épiphyse, la glande qui régule le sommeil et un apaisement des glandes surrénales qui sont les hormones permettant de mobiliser des moyens de défense pour réagir au stress.

À chaque pied son parcours, et à chaque personne son stress, aussi j’adapte mon toucher et mon travail en fonction des zones déséquilibrées. L’important est de repartir du bon pied ! »

Envie de démarrer l'année sereinement ? Contactez-nous pour que vos collaborateurs puissent profiter d'un soin de réflexologie, des mains ou des pieds.

Audrey Le Roux

Stop aux bonnes résolutions, accueillons !

Grand marronnier, le mois de janvier est propice aux articles, questions, conversations sur nos bonnes résolutions. Parfois, cela tourne même à l'injonction comme si le début d'une année devait obligatoirement induire des changements. D'autant plus que ces résolutions ne sont pas toujours tenues. Et si tout simplement on restait nous-même mais en mieux ?

Félicitez-vous de l'année passée

Le début d'année, c'est l'occasion de tourner la page sur ce qu'il s'est passé l'année précédente, sur les évènements positifs comme les échecs. Les analyser est primordial car chaque expérience nous apporte un enseignement. Que ce soit une situation professionnelle qui n'a pas abouti comme on l'avait imaginé, le report d'un projet de vie ou encore une relation qui s'est mal terminée, il est toujours possible de tirer du positif dans le négatif. Et puis il y a tout ce que l'on a accompli de positif ! On a trop souvent tendance, surtout à notre époque, à zapper, passer à autre chose sans se retourner. Or, une année c'est finalement assez long et s'y replonger permet de se rebooster et de se féliciter. Qu'avez-vous fait en février ou mars 2019 par exemple ? Avez-vous appris de nouvelles compétences ? Avez-vous réalisé une chose qui vous tenait à cœur depuis des années ? Etes-vous sorti de votre zone de confort ? Peut-être avez-vous simplement pu vous octroyer 30 minutes par jour ? Il n'y a pas de petite chose mais simplement ce qui est important pour vous.

Finalement, vous verrez qu'en faisant le bilan, vous ne pouvez que vous féliciter, et ça, ça fait du bien !

C'est reparti pour un tour !

Carrousel de chaises volantes en mouvement avec des personnes

Bilan positif fait, vous voilà reparti pour une année, tout émoustillé (oui c'est mon cas☺️)par ce que vous allez faire mais que vous ne soupçonnez pas encore ! Et c'est là le plus excitant. Se dire que nous avons une (et même plusieurs) page blanche devant nous, qu'il ne tient qu'à nous de l'écrire. Choisissez donc ce que vous souhaitez faire plutôt que de bonnes résolutions. Pensez à vous, à vos envies, soyez un peu égoïste ! Afin d'être tourné vers l'autre, il faut avant tout penser à soi, être en accord avec ce que l'on est, et c'est pour ma part la leçon que j'ai tiré de 2019 ! Ne pas se mettre de barrière, ouvrir le chant des possibles... Oui c'est plus facile à dire qu'à faire, sans doute, mais quel risque prenez-vous si ce n'est de vous respecter avant tout ?

Prendre soin de soi, dans sa globalité

Panneau avec inscription OPEN

Parce que nous ne pouvons pas scinder la vie personnelle et la vie professionnelle, il est indispensable de prendre soin de soi afin que cela impacte toutes les sphères de notre vie. Si le bien-être au travail est notre cheval de bataille par conviction et par expérience, il est évident qu'il ne doit pas s'arrêter à la porte du bureau, tout comme nos problèmes professionnels ne restent pas sur notre pallier et nos problèmes personnels à l'entrée de notre entreprise. Utilisez donc tous les outils que vous avez à disposition afin d'améliorer votre vie et travailler sur vous-même... Le but ? Avoir une vision différente des choses. Hier, ma prof de yoga nous racontait qu'elle avait l'habitude de s'énerver sur la route après les chauffards, ou une simple personne allant trop vite. Cela la stressait beaucoup et finalement c'était elle qui était impactée. Aujourd'hui, sa vision a changé : peut-être que cette personne a une urgence, elle vient d'apprendre une mauvaise nouvelle ou elle a très envie d'aller aux toilettes ( !😄) Bref, elle s'est complètement détachée de ces situations afin d'être plus sereine au volant. Tout cela pour dire qu'un événement peut être vu et surtout vécu de façon différente, ce qui va forcément avoir un impact sur vous, alors autant qu'il soit positif afin de vivre plus heureux 😉

Je ne sais pas de quoi va être faite mon année 2020, peut-être changerais-je de métier, de maison, de ville, peut-être apprendrais-je encore davantage sur moi-même (c'est même sûr). Ce qui est certain c'est que le temps est toujours devant nous et qu'il nous appartient de le saisir, d'en faire quelque chose de positif et avant tout, de s'aimer soi-même pour mieux aimer les autres. Alors très belle année 2020 !

Audrey Le Roux

#qvt #bonheur #bonneannee2020 #saimersoimeme #aurona

Au pas, au trop ou au galop, travaillez votre intelligence émotionnelle

L'intelligence émotionnelle est devenue LE soft skill (compétence douce) incontournable à avoir sur son CV. Mais savons-nous réellement ce que c'est, ou comment la développer ?Découvrons cette « nouvelle » compétence, loin d'être de la poudre aux yeux !

Qu'est-ce que l'intelligence émotionnelle (IE) ?

Selon le modèle définit dans les années 1990 par les deux psychologues américains Peter Salovey et John Mayer, l'intelligence émotionnelle est « l’habileté à percevoir et à exprimer les émotions, à les intégrer pour faciliter la pensée, à comprendre et à raisonner avec les émotions, ainsi qu’à réguler les émotions chez soi et chez les autres. »

L'intelligence émotionnelle est composée de 4 étapes :

● la perception émotionnelle : être conscient de ses émotions et savoir les exprimer aux autres,

● l'assimilation émotionnelle : savoir faire la différence entre ce que l'on ressent et les émotions qui influent sur le processus de pensée,

● la gestion des émotions : savoir vivre ou laisser une émotion en fonction de son utilité et de la situation,

● la compréhension émotionnelle : comprendre les émotions complexes et reconnaître les transitions entre deux émotions.

Une émotion dure entre 30 et 90 secondes, un temps très court in fine. N'ayant pas les clés pour analyser ces émotions, les utiliser à bon escient ou tout simplement les comprendre, nous passons à côté. Pire, nous les ignorons et/ou luttons contre, ce qui peut se retourner contre nous-même. Pourtant, les émotions ne permettent-elles pas, par définition, de créer du lien et d'éviter les tensions ?

L'IE au travail

cours d'explication d'un cheval

Si l'IE est un soft skill primordial aujourd'hui, c'est parce qu'en dehors de toute digitalisation, l'humain est là. Nous sommes le point de départ d'une bonne collaboration, d'un travail bien fait ou d'un projet rondement mené.

Notre esprit, nos émotions, sont nos premiers outils et ceux qui ont le plus de valeurs. Bien souvent, nous sommes plus performants en équipe, et pour qu'une équipe gagne il faut que les membres collaborent en bonne intelligence, dans le respect, l'écoute et la bienveillance.

De là viendra le succès ! Travailler son intelligence émotionnelle permet d'aboutir à un tel résultat.

Si cela paraît une évidence pour certains, dans un monde où les écrans, les robots et même l'intelligence artificielle sont omniprésents, ce n'est pas si simple de revenir à nos instincts. Le tout est de savoir utiliser le meilleur dans chaque domaine.

Travailler son intelligence émotionnelle grâce au cheval

femme qui donne de la nourriture à un cheval

Corinne d'Equitions, notre équicoach, parle avec passion de son travail à travers un animal, un compagnon et surtout un collègue de travail qui lui est cher, le cheval !

« Pour apprendre une technique, ne pensez-vous pas que le mieux est de se référer aux grands maîtres en la matière ?

Ceux qui maîtrisent le concept sur le bout des doigts et qui ont justement passé leur vie à le perfectionner.

Et bien les plus grands maîtres en matière d’intelligence émotionnelle, ce sont les animaux de proie, leur vie en dépendant. Ils sont en effet capables de ressentir en 1 seconde si le prédateur passant à coté est rassasié ou s’il est à l’affût. Un temps de réflexion plus long leur coûterait la vie.

C’est ainsi que je propose aux personnes et aux organisations d’apprendre à développer leur intelligence émotionnelle grâce aux chevaux. Les équidés nous ont accompagnés dans toutes nos conquêtes et tout au long de l’histoire humaine dans la plupart des grandes civilisations. Ils sont donc les plus à même de nous réapprendre ces capacités qui sommeillent en nous.

A leurs côtés, il est possible d’intégrer à notre rythme ce modèle de traitement des émotions en 4 étapes. Et ils le font sans aucun jugement, en nous renvoyant simplement, grâce à leur sensibilité extrême, qui nous sommes vraiment et quel axe d’amélioration prendre pour devenir celui ou celle que nous avons toujours rêvé d’être.

Alors si vous sentez l’appel de l'animal en vous, ne le laissez plus se taire, foncez ! »

*crédit photo Amélie Attal

Audrey Le Roux

#qvt #intelligenceemotionnelle #equicoaching #bonheur #aurona

L’Expérience Collaborateur : le cœur de réacteur de votre organisation, et encore plus en ce moment !

Aurona a une mission : faire de l'entreprise un lieu de vie convivial, bienveillant, productif, constructif et avant tout humain. Je ne crois pas qu'il s'agisse d'une utopie mais plutôt d'un réel besoin. Rien de mieux pour cela que d'impliquer les collaborateurs. Parce qu'Aurona s'entoure des meilleurs experts en la matière, nous vous proposons de lire Isabelle Kirchner qui collabore avec nous sur l'expérience collaborateur.

Les développeurs parlent d’Expérience Utilisateur qui représente la qualité du vécu de l'utilisateur dans des environnements numériques. Il s’agit de préparer la navigation intuitive sur les sites Internet et dans les applications mobiles, pour garder l’utilisateur le plus longtemps possible. Les commerciaux ou les personnes du Marketing parlent d’expérience client lorsqu’il y a achat. Par analogie, nous parlons maintenant d’Expérience Collaborateur au sein des organisations. 

Qu’est-ce que l’Expérience Collaborateur ?

objet lumineux avec l'inscription TIME FOR CHANGE

« L’Expérience Collaborateur désigne l’ensemble des interactions et des expériences vécues par un collaborateur au sein de l’entreprise, dans les moments clés de son parcours comme dans son quotidien professionnel, de son recrutement jusqu’à son départ. On peut la définir comme la somme des ressentis du salarié vis-à-vis de sa situation de travail. »* 

L’expérience collaborateur s’inscrit dans les étapes clés tout au long de la vie du collaborateur dans l’organisation : entretien d’embauche, onboarding, équilibre de la vie professionnelle et personnelle, évolution et développement des compétences jusqu’au départ du collaborateur voire après (ex. alumni).

Des enjeux majeurs pour l’organisation : l’Expérience Collaborateur, le cœur de réacteur !

 Ampoule dans un bulle de dialogue de BD en forme de nuage en craie

Une Expérience Collaborateur réussie est un facteur gagnant-gagnant aussi bien pour le salarié que pour l’employeur. Elle va permettre d’attirer de nouveaux talents, de les fidéliser, de proposer une meilleure qualité de vie au travail, de mieux engager les salariés et in fine de créer plus de performance. Elle est la représentation de la culture d’entreprise, de ses valeurs, de la marque employeur. Elle est visible à l’intérieur comme à l’extérieur. Elle est ressentie par toutes les parties prenantes y compris les clients et les fournisseurs. 

Elle peut aussi créer beaucoup de dommages si elle n’est pas bien vécue (mauvaises notations de l’entreprise sur les réseaux sociaux, bouche à oreille négatif qui va vite…). Il faut donc en prendre soin !

Comment l’adapter à la crise que nous traversons ?

Femme qui télétravaille avec son PC portable à côté d'elle, il y a son téléphone portable, des carnets de notes et une tasse de café

Avec le confinement que nous avons tous vécu, d’une manière ou d’une autre, les collaborateurs ont dû s’adapter à ce que proposait l’entreprise : activité partielle, « télétravail de confinement »**, certains étaient bien préparés avec le bon matériel, d’autres ont dû utiliser leur matériel personnel, le management à distance, la multiplication de réunions en visio, la gestion des enfants, la préparation des repas… Chacun a vécu le confinement dans toute sa singularité.

Depuis le déconfinement, le retour au bureau se fait de manière progressive, avec encore beaucoup de télétravail, avec encore beaucoup d’enfants en « école à la maison », et encore une fois chacun vit cette nouvelle phase avec toute sa singularité.

Il est important de comprendre quelle expérience le collaborateur a vécu ou vit sur ces deux phases, confinement et déconfinement, afin de l’accompagner au plus près de ses besoins, de ses interrogations, de ses peurs… Apprendre aussi des erreurs qui ont pu être commises (et le reconnaître – ex. « avant, on ne voulait pas du télétravail »), des nouvelles choses qui ont été apportées et qui sont bien vécues, des adaptations qui améliorent le quotidien, revoir les méthodes de management et surtout à distance… l’organisation en sortira grandie, plus forte et avec des collaborateurs plus engagés.

Les collaborateurs ont des solutions à vous proposer, écoutez-les !

Une équipe de travail de 4 personnes qui se félicite avec les poings fermés

Dans cette période de déconfinement, il est donc primordial d’écouter les collaborateurs. De les sonder sur ce qu’ils ont aimé, moins aimé, ce qu’ils pourraient imaginer ; ce qui a changé dans leur manière de faire, de penser, comment ils se voient travailler après les vacances d’été.

Et il ne faut négliger personne ! Ecouter tout le monde car chacun a des solutions, des améliorations à apporter pour pallier tel ou tel problème. Les managers auront découvert certaines facettes des personnes de leur équipe, certaines personnes qui normalement restent dans l’ombre auront brillé à distance… 

Alors, dirigeants, n’attendez plus et conduisez le changement en lançant une écoute collaborateurs, vous n’imaginez pas les trésors qui se cachent dans la tête de vos collaborateurs… et offrez-leur une expérience collaborateur optimisée !

L’Expérience Collaborateur peut être conduite par un Responsable Expérience Collaborateur ou CHO 2.0, un Manager de Transition ou encore un Manager à Temps Partagé.

Isabelle Kirchner, Manager de Transition ou à Temps partagé – Expérience Collaborateur – QVT – RH 

*Définition de T. Chardin Fondateur de Parlons RH **Le télétravail de confinement n’a rien à voir avec le télétravail « normal ». 

Audrey Le Roux

Motivés, motivés, vous êtes motivés... ou pas !

Depuis quelques jours, j'entends de nombreux témoignages, des salariés comme des employeurs, disant que les collaborateurs ne souhaitent pas revenir au bureau, mais bel et bien rester chez eux, en télétravail. Peur justifiée ou non, manque d'investissement, de sens et de motivation ? Que s'est-il passé durant ces derniers mois, et même années, pour que les salariés n'aient plus envie de revenir au bureau ?

Cibler le(s) problème(s)

Femme qui écrit une formule chimiques

On ne va pas revenir sur le télétravail, il y a des avantages et des inconvénients, des pour et des contres, le juste milieu étant toujours préférable. 

Les vraies questions à se poser : Pourquoi le monde de l'entreprise n'attire plus ? Que faut-il faire pour le rendre attrayant ?

La réponse est dans la question : donner aux collaborateurs l'envie de revenir, pour de vraies raisons ! Qu'ont-ils besoin réellement ? Quelle valeur ajoutée propose la vie de bureau comparée au télétravail ?

Cela paraît sans doute fou mais aujourd’hui, il faut une vraie raison pour revenir, donner du sens à ce que l'on fait et même justifier en quoi le travail en présentiel est primordial.

Oui l'être humain est une bête curieuse. Le confinement et l'obligation de télétravail ont été un choc alors qu'aujourd'hui il est difficile de retourner au bureau. Mais l'être humain est aussi un être merveilleux, plein de ressources, à nous de savoir les exploiter.

Se rappeler de la force du collectif

Personnage de kung-fu en plastique sur une table

Nous sommes tous d'accord pour dire qu'il y a des tâches pour lesquelles nous sommes plus productifs en travaillant individuellement, et encore plus en télétravail. En somme, tout ce qui demande concentration.

Cependant, il ne faut pas oublier la force du collectif ! Preuve en est avec les brainstorming, réunions autour d'un sujet qui permet de réunir toutes les idées pour faire émerger la/les plus intéressante(s). L'idée de l'un en fait germer une autre dans l'esprit de son collaborateur pour aboutir à LA solution.

Travailler en équipe à distance est beaucoup moins productif : nous l'avons tous vécu lors d'une visio où l'on pouvait être amené à faire plusieurs choses à la fois, zappé d'un écran à un autre tout en écoutant l'intervenant. Dans ce contexte, on perd en productivité.

L'Humain comme priorité

Cerveau avec des mots sur les émotions

Nous en revenons toujours au même, l'Humain est au centre de ces problématiques. Avant la productivité, l'efficacité ou encore la rentabilité, il faut prendre en compte le lien social puisque c'est le point de départ de toute relation. Sans lien il n'y a pas d'engagement ni de projets.

Revenir au bureau signifie donc d'engager ses collaborateurs à retrouver ce lien social, et de créer de la convivialité autour de ce tissu. L'engagement collaborateur est la clé d'un retour au bureau réussi. Cela passe par un grand nombre d'action de Qualité de Vie au Travail qui aboutissent toutes à un but : considérer et donner envie aux collaborateurs de s'intégrer à l'organisation, l'entreprise, en faire partie plutôt qu'être en dehors ou en partir.

Accompagnement, bienveillance, écoute et échange seront le point de départ de ce nouveau mode de travail.

Et vous, comment abordez-vous cette problématique ? Avez-vous changer de fonctionnement ?

Parlons-en !

#retouraubureau #qvt #aurona #bienetreautravail #engagementcollaborateur

Audrey Le Roux